Benoît Verhaert ouvre « Les carnets du sous-sol » du grand romancier russe. Un beau défi.
Vingt ans que cet homme-rat ressasse le grand échec de sa vie : une rousse flamboyante, remarquable Céline Peret […] Pic d’intensité à cet instant du récit. La rencontre entre les deux comédiens, leurs contrastes, la froideur de l’une, la douleur colérique de l’autre dégage une force réelle, une bouffée d’air dans cette atmosphère oppressante qui ne laisse pas indifférent. Une opportunité intime et intéressante de se frotter à nouveau à l’oeuvre de l’immense Dostoïevski.
Portrait magistral d’un anti-héros. Merci À Benoît Verhaert et à ses complices de nous transmettre la force et la modernité de ce grand roman de Dostoïevski.»